Dans cette tension entre marché et liberté de création, il existe des marges de manœuvre ; les acteurs concernés déploient parfois une ingéniosité qui force l’attention. Comment l’ensemble de la profession peut-il se mobiliser pour faire perdurer ce modèle français si spécifique ?
Suite à une enquête menée auprès des réalisateurs, producteurs, distributeurs, équipes de communication de cinq longs métrages, ainsi que des salles indépendantes, un diagnostic et des pistes de collaboration ont été proposés par les personnes auditionnées.
Le 28 octobre dernier, nous en avons discuté autour d'une table ronde à CentQuatre à l'occasion de la journée mondiale du cinéma d'animation avec :
Didier Brunner, producteur (Folivari)
Florian Deleporte, exploitant (Studio des Ursulines)
Christian Desmares , réalisateur (Avril et le Monde Truqué)
Rémi Chayé, réalisateur (Tout en Haut du Monde)
Sébastien Ravut (Si dièse, directeur des Stratégies Digitales)
Louis-Paul Desanges (Benshi, Le guide du cinéma pour enfants)
Henri Magalon, producteur (Maybe Movies)
Séverine Lathuillière, productrice (Naïa Productions)
Personnes auditionnées pour l’enquête :
Marc Bonny, Gébéka films, distributeur
Rémi Chayé, réalisateur
Christian Desmares, réalisateur
Ron Dyens, Sacrebleu productions, producteur
Franck Ekinci, réalisateur
Alain Gagnol, réalisateur
Marc Jousset, Je suis bien content, producteur
Didier Lacourt, Diaphana, distributeur
Séverine Lathuillière et Philippe Aigle, Naia production
Henri Magalon, Maybe Movies, producteur
Mikael Muller et Nathalie Bendavid, Océan Films, distributeurs
Sébastien Ravut, Si Dièse, Directeur des Stratégies Digitales
Simon Rouby, réalisateur
Les salles de l’AFCAE et des Cinémas Indépendants Parisiens